Jouer fait partie de la vie. Nous jouons tout le temps : les Jeux Olympiques, les Championnats d’Europe, les Championnats du monde, nous jouons des instruments de musique, nous allons à des concerts, nous jouons des pièces de théâtre sur scène, nous allons au cinéma pour voir jouer des acteurs.trices.

Notre monde d’adultes comporte tellement de composants de jeux, pour lesquels nous payons parfois même beaucoup d’argent.

Les enfants jouent. Si nous les appelons à dîner et qu’ils veulent encore finir leur jeu, leur donnons-nous l’espace nécessaire ? Ce jeu est-il aussi important que manger, aller au travail, cuisiner, faire le ménage ?

Jouer nous permet d’explorer le monde, d’essayer des rôles et des structures sociales, d’essayer et de faire « comme si ». Cela s’applique non seulement aux enfants, mais aussi aux adultes, même si cela n’est pas reconnu de la même façon.

La thérapie par le jeu ne s’applique pas seulement aux enfants, mais aussi dans le travail thérapeutique avec les adultes. Nous faisons « comme si » et essayons de nouvelles perspectives.  Nous essayons de nouvelles façons d’agir. Nous pensons à de nouvelles solutions. Nous cherchons des alternatives au problème existant.

Nous avons exploré tout cela sur le plan théorique et surtout à travers des méthodes très pratiques en 2 jours merveilleux avec notre estimé collègue Manfred Vogt de l’institut NIK à Brême, chez IICoS à Marlenheim.

Merci Manfred Vogt pour tes excellents exemples et tes apports inspirants. Nous espérons vivement te revoir en France en 2027.